L’augmentation du Salaire minimum interprofessionnel Garanti (SMIG) dans un délai requis, c’est bien l’idéal pour nombre de travailleurs. Face à la cherté de la vie, ceux-ci disent avoir plus de difficultés. La revalorisation des salaires des travailleurs, le gouvernement a fait le nécessaire. Et, il y a quelques jours, une séance formelle s’est tenue entre le Chef de l’Etat et des responsables syndicaux. Des annonces ont été faites. Tout cela a été autrement apprécié par les uns et les autres.
Pour le Secrétaire Général du Syndicat des enseignants à la retraite Paul Essè IKO, il faut aussi penser à la revalorisation de la pension des retraités. Le syndicaliste, reçu par Radio Sêdohoun, fait également une annonce.
« 52.000, c’est pour les débutants, 52.000 c’est le salaire au dessous duquel on ne peut pas payer. C’est le salaire minimum interprofessionnel garanti. Nous pensons que les 52.000, c’est un effort qui est insuffisant. Les 52.000 obtenus, ça fait quelque chose que nous ne retenons en attendant. Mais on peut dire que la revalorisation de la pension des retraités n’est pas encore faite. »
L’acteur syndical prévoit dans les prochains mois, un ouvrage autobiographique au peuple béninois.